Partager:

JAKARTA - L’envoyé britannique auprès des Nations Unies a déclaré que son pays et 39 autres États membres de l’ONU exigeaient la libération « immédiate et sans conditions » du personnel de l’ONU détenu par les Houthis. « Nous condamnons fermement la dernière détention par les Houthis depuis le 7 juin contre le personnel et le personnel de l’ONU travaillant pour ou précédemment pour des ONG internationales et nationales, ainsi que les missions diplomatiques », a déclaré l’envoyée Barbara Woodward lors d’une conférence de presse. Woodward a exhorté les Houthis à assurer la sécurité et la sécurité du personnel humanitaire et de l’ONU. « Nous sommes profondément préoccupés par la détérioration de la situation humanitaire au Yémen et soulignons l’importance d’un accès sans contraintes pour les travailleurs humanitaires à la population civile », a-t-il poursuivi. Il a souligné que le groupe de pays était également « très préoccupé » par le risque d’envoyer de l’aide humanitaire considéré comme important. Ils veulent respecter le droit international humanitaire et promouvoir un accès « sûr, rapide et sans contraintes » à tous les travailleurs humanitaires pour assurer l'expédition d'aide humanitaire aux personnes les plus vulnérables du Yémen. Les pays ont réaffirmé leur « fort engagement » en faveur de l’unité, de la souveraineté, de l’indépendance et de l’intégrité du Yémen, ainsi qu’un engagement à soutenir le peuple yéménite. L’envoyé spécial de l’ONU au Yémen, Hans Besberg, a déclaré jeudi que la semaine dernière, 13 membres du personnel de l’ONU, en plus de cinq membres du personnel d’organisations internationales et de nombreux autres, des ONG et de la société civile, avaient été détenus arbitrairement par le groupe Ansar Allah. « Nous exhortons Ansar Allah à respecter les droits des citoyens yéménites en vertu du droit international et à la libération immédiate et sans conditions de tous les membres du personnel de l’ONU et des ONG, et à ne pas procéder à des arrestations arbitraires de civils », a déclaré plurberg. Le Yémen a été sous le choc et le chaos depuis 2014, lorsque les rebelles Houthis ont pris le contrôle de la grande partie du territoire du pays, y compris la capitale Sanaa. La crise s’est intensifiée en 2015 lorsque une coalition militaire dirigée par l’Arabie saoudite a lancé une frappe aérienne destructrice pour battre les Houthis. Des dizaines de milliers de Yéménites, dont de nombreux civils, auraient également été tués dans le conflit, tandis que 14 personnes sont également en danger de mourir de faim, selon les Nations Unies.

The English, Chinese, Japanese, Arabic, and French versions are automatically generated by the AI. So there may still be inaccuracies in translating, please always see Indonesian as our main language. (system supported by DigitalSiber.id)