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JAKARTA - Expert en droit constitutionnel Yusril Ihza Mahendra a parlé de la question de l’augmentation du poste de président de deux périodes à trois périodes.

Il a dit que c’était impossible. Parce que, se référant à l’article 7 de la Constitution de 1945 mentionné, le président et son adjoint n’ont servi qu’un maximum de deux périodes.

« Le président et le vice-président ne siègent qu’un maximum de deux mandats, soit pour 10 ans. Il n’y a pas d’autre interprétation », a déclaré Yusril aux journalistes lundi 15 mars.

Il a expliqué, avant d’être amendé, que l’article 7 de la Constitution de 1945 avait une interprétation multi-interprétation parce qu’il se lit comme suit: « Le président et le vice-président ont occupé son poste pendant une période de cinq ans et peuvent ensuite être réélus ».

Cependant, avec le premier amendement de la Constitution de 1945 effectué en 1999, cet article multi-interprétation a changé.

« Avec les changements susmentionnés, il est impossible pour un président d’occuper ce poste pour un mandat d’une période d’au moins trois mandats. A moins qu’une modification ne soit apportée aux dispositions de l’article 7 de la Constitution de 1945 », a-t-il déclaré.

Bien qu’il ait dit que ce changement dans la constitution peut se faire par le biais de la convention de l’État sans apporter d’amendements, mais il est pessimiste que cela se fera à cette époque.

Le traumatisme du passé à la liberté d’expression des gens sera une pierre d’achoppement à la tenue de ce genre de convention.

Non seulement cela, le public peut maintenant également traiter cela par des tests matériels devant la Cour constitutionnelle. Ainsi, la possibilité de changer le mandat présidentiel en trois périodes sera certainement difficile.

« À l’ère actuelle de la liberté d’expression et de la liberté de la presse, le rejet du mandat du président à trois périodes en vertu de la convention sera confronté à des défis considérables », a déclaré M. Yusril.

« On peut remettre en cause le mandat du troisième mandat au moyen de la convention devant la Cour constitutionnelle. Sinon, s’il y a un amendement du MPR à la norme de l’article 7 de la Constitution 45, alors la Cour constitutionnelle ne peut rien faire », a-t-il ajouté.

Précédemment rapporté, Amien Rais via son compte YouTube, Amien Rais Officiel, a révélé les efforts du gouvernement Jokowi pour contrôler les hautes institutions du pays et cela est considéré comme dangereux.

L’ancien président du MPR soupçonnait également que le régime de Jokowi saperait la session du MPR pour apporter des modifications aux deux articles. La première est de changer le mandat du président.

« Ils vont donc prendre la première étape de demander une session extraordinaire de mpr qui peut être un ou deux articles, dit-il doit être fixé. Ce qui, je ne sais pas non plus, mais ensuite sera offert un nouvel article qui donne alors le droit que le président peut être élu trois fois », at-il dit comme cité dans la vidéo.

« Si c’est vraiment leur souhait, alors je pense que nous pouvons immédiatement dire inalillahi wa inalillahirojiun », at-il ajouté.

Par ailleurs, l’ancienne vice-présidente du parti Gerindra Arief Poyuono a déclaré que le discours du bureau du président sur trois périodes devait être pris au sérieux. Il a reconnu qu’un mandat présidentiel de seulement deux mandats est trop court pour diriger un gouvernement.


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