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PAPUA - Le chef de la police papoue, Irjen Pol Mathius Fakhiri, a reconnu jusqu’à présent que le gouvernement régional de Nduga et l’église Kingmi continuent d’aider à libérer les otages nationaux néo-zélandais pris en charge par le Groupe criminel armé (KKB) dirigé par Egianus Kogoya.

En effet, le gouvernement régional de Nduga essaie toujours de négocier avec le groupe de otages, ainsi que avec une équipe de l’église Kingmi.

« Les régents par intérim de Nduga ont signalé il y a quelques jours les mesures prises », a déclaré à Antara le chef de la police papoue, Irjen Pol Fakhiri, à Jayapura, en Papouasie, vendredi 5 avril.

Il a expliqué que son parti continuerait à s’efforcer de mener une approche et de négocier pour libérer les otages du KKB en état de sécurité.

L’implication du gouvernement de la ville de Nduga et de l’église parce que les otages sont des résidents de la région, il est donc attendu avec une approche familiale que le processus sera rapide.

« J’espère qu’en continuant à faire l’approche du groupe, tant par le gouvernement local que par l’église, les otages veulent libérer leurs cravate en toute sécurité », a espéré le chef de la police.

Le gouvernement néo-zélandais a exprimé son soutien aux mesures prises pour libérer les otages détenus depuis le 7 février 2023.

Philippe Max Mehrtens, qui travaille en tant que pilote, a été pris en otage quelques instants après avoir atterri à l’aéroport Paro Nduga Regency.


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