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JAKARTA - L’ancien chef de la Division des relations internationales (Hubinter) de la police nationale, l’inspecteur général Napoléon Bonaparte, a déclaré que l’action rapide de l’institution sur l’affaire Joko Tjandra n’a eu aucun impact sur la satisfaction du public. La réponse rapide a déclaré l’inspecteur général Napoléon, effectivement soulevé des soupçons.

Cette déclaration a été transmise par l’inspecteur général Napoléon comme une défense ou un plaidoyer lors d’une audience de suivi au tribunal de corruption de Jakarta.

« L’action rapide et ferme de la direction de la police nationale n’a pas satisfait le public, mais a plutôt soulevé des soupçons d’actes criminels présumés », a déclaré l’inspecteur général Napoléon, lundi 22 février.

La réponse rapide de la police à l’affaire Joko Tjandra, a poursuivi l’inspecteur général Napoléon, a conduit à de fortes pressions de la part du public pour révéler l’affaire. Jusqu’à ce que finalement l’inspecteur général Napoléon et le général de brigade Prasetijo Utomo deviennent suspects.

« Afin qu’il y ait des pressions publiques sur Interpol pour déléguer ce problème au domaine du droit qui a conduit à des allégations de corruption contre nous, at-il dit.

La condamnation de Napoléon n’a été envisagée que pour restaurer l’image de la police. La criminalisation ne se fait aussi que parce qu’ils ne peuvent pas superviser le travail des subordonnés.

« Afin de maintenir le moral institutionnel et la confiance du public dans la police nationale, la direction de la police nationale a réagi à la situation en agissant rapidement et de manière décisive en nous punissant par télégramme du chef de la police, pour ne pas superviser le personnel », a-t-il dit.

Dans cette affaire, l’inspecteur général Napoléon aurait accepté des pots-de-vin de Joko Tjandra. Le pot-de-vin visait à retirer le nom de Joko Tjandra de la liste des avis rouges.

Lorsqu’il a reçu le pot-de-vin, l’inspecteur général Napoléon était encore chef de la Division des relations internationales (Hubinter) de la police nationale. Il aurait reçu 200 000 dollars singapouriens et 370 000 dollars américains de Tommy Sumardi.

L’inspecteur général Napoléon Bonaparte a été accusé d’avoir accepté des pots-de-vin en collaboration avec le général de brigade Prasetijo, qui était alors chef du Bureau du coordonnateur de la surveillance de la police du PPNS (Karo Korwas). Toutefois, dans l’accusation, le général de brigade Prasetijo aurait reçu 100 000 dollars.


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