La France, l’Allemagne, la Grande-Bretagne et les États-Unis condamnent pour enrichi l’uranium d’Iran
L’installation nucléaire de Bushehr d’Iran (Wikimedia Commons/Agence de presse Tasnim/Hossein Heidarpour)

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JAKARTA - La France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et les États-Unis ont condamné jeudi l’augmentation de la production d’uranium enrichi jusqu’à un niveau de pureté de 60 pour cent par l’Iran, près du niveau utilisé pour le carburant d’armes nucléaires.

Dans une déclaration conjointe, les quatre alliés n’ont mentionné aucune conséquence que l’Iran pourrait rencontrer sur l’augmentation de la production, mais ont appelé à son annulation, affirmant qu’ils restaient « s’engageant à une solution diplomatique » au différend sur le programme nucléaire de Téhéran.

« La production d’uranium hautement enrichi par l’Iran n’a aucune justification civile justifiée », indique le communiqué.

« Cette décision représente un comportement subtil dans un contexte régional tendu », a-t-il poursuivi.

Par ailleurs, l’organisme de surveillance nucléaire de l’ONU, l’Agence internationale de l’énergie atomes (AIEA), a déclaré mardi que l’Iran avait inversé le ralentissement pendant des mois dans les niveaux de production d’uranium enrichi à une pureté de 60%.

« Nous condamnons cette action, qui ajoute à l’escalade continue du programme nucléaire iranien », a déclaré le communiqué.

Pendant ce temps, l’Iran a rejeté mercredi le rapport de l’EAU et l’a qualifié de « rien de nouveau » et a déclaré qu’il exécuterait son programme « conformément aux règles ».

On le sait, Téhéran dispose déjà d’uranium avec une pureté de 60%, s’il est enrichi jusqu’à 90%, pour fabriquer trois bombes nucléaires, selon la définition théorique des Émirats arabes unis. Téhéran nie toute tentative de fabriquer des armes nucléaires.

La Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne sont connus pour rester parties à l’accord nucléaire de 2015 (JCPOA) conçu pour empêcher l’Iran de développer des armes nucléaires.

Alors que le pays de l’oncle Sam n’est plus partie à l’accord, après que l’ancien président américain Donald Trump a retiré les États-Unis de l’accord en 2018, encourageant l’Iran à franchir progressivement ses frontières.


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