Le Hamas nie les allégations d'un attentat iranien du 7 octobre contre le décès du commandant de l'armée Quds IRGC
Venait le commandant des forces de l’IRGC iranien Quds, le général de division Qasem Soleimani. (Wikimedia Commons/akkasalman.ir/sayyed shahab o din hajedi)

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JAKARTA - Le groupe militant palestinien Hamas a nié mercredi les revendications d’aile d’élite militaire iranienne selon lesquelles son attaque contre Israël le 7 octobre avait été menée en vengeance pour le meurtre d’un commandant des forces d’élite de Téhéran il y a quatre ans.

Le porte-parole du Corps de la Garde révolutionnaire iranienne (IRGC), Ramadan Sharif, a affirmé mercredi que l’attaque du Hamas contre Israël était une réponse à la tuée du commandant des forces Quds de l’IRGC, le général de division Qasem Soleimani, en 2020, dans des frappes aériennes américaines, selon l’agence de presse iranienne IRNA.

« Le mouvement de résistance du Hamas nie la validité de la déclaration du porte-parole du Corps de la Garde de la Révolution islamique (IRGC), le général de brigade Ramadan Sharif, concernant l’opération d’inondation Al Aqsa et ses motivations », a déclaré le Hamas dans son communiqué, cité par CNN le 28 décembre.

« Toutes les mesures de résistance palestiniennes ont eu lieu en réponse à la présence continue d’occupation et d’agression contre notre peuple et notre sainteté », a-t-il poursuivi.

Plus tôt, les affirmations du porte-parole de l’IRGC ont émergé mercredi après que l’IRNA a rapporté qu’un autre commandant militaire iranien, Seyyed Razi Mousavi, est mort dans une frappe aérienne israélienne en Syrie lundi. L’armée israélienne a refusé de commenter le rapport.

Le général de brigade Sharif a réitéré mercredi les menaces des responsables iraniens de se venger contre Israël.

L’Iran réagira correctement « le régime israélien à l’assassinat d’un conseiller militaire principal en Syrie » et se vengera des « attaques terroristes à différents moments et lieux », a-t-il déclaré.

Les attaques du Hamas dans le sud d’Israël du 7 octobre qui ont tué 1 200 personnes et emprisonné 240 autres en otage ont été répondues par des bombardements israéliens et des blocus de Gaza, faisant environ 21 110 morts et 55 243 blessés jusqu’à mercredi, selon le ministère local de la Santé.

Les responsables iraniens avaient précédemment nié toute implication directe dans l’attaque du 7 octobre, bien que Téhéran ait fourni un soutien et une assistance financière au Hamas et à d’autres groupes d’assistance.


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