JAKARTA - La ministre australienne des Affaires étrangères Marise Payne a appelé la Chine à donner accès à une équipe d’experts en virus de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour enquêter sur l’origine du COVID-19. L’Australie ne veut plus de retards dans cette affaire précaire.
« Nous espérons que les permis requis pour le voyage de l’équipe de l’OMS en Chine seront délivrés sans délai », a déclaré Mme Payne. L’ancien Directeur général de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus s’est dit déçu que la Chine n’ait pas autorisé une équipe d’experts en virus de l’OMS à entrer dans le pays.
Citant Reuters, jeudi 7 janvier 2021, Payne a réaffirmé l’importance des études scientifiques organisées par l’OMS. M. Payne a déclaré: « Nous attendons avec impatience les conclusions de la mission internationale sur le terrain en Chine.
Le coronavirus serait apparu pour la première fois dans la ville de Wuhan, en Chine, à la fin de 2019. Depuis, le virus s’est propagé dans le monde, infectant plus de 86 millions de personnes et tuant plus de 1,8 million de personnes.
L’Australie a joué un rôle de premier plan en demandant une enquête indépendante sur l’origine du COVID-19. Cet appel franc a aggravé ses relations avec la Chine.
La Chine, principal partenaire commercial de l’Australie, a depuis limité ses importations de bœuf. Ils ont également imposé des droits de douane sur le vin australien et demandé au moulin de cesser d’acheter du coton à l’Australie.
Alors que la Chine a acceptéEn mai 2020, l’OMS a accepté de mener une enquête sur la riposte mondiale à la pandémie après que plus d’une centaine de pays ont signé une résolution appelant à une enquête indépendante. M. Tedros a déclaré que l’OMS « est impatiente de mener à bien la mission le plus rapidement possible » et qu’on lui a donné l’assurance que la Chine accélérait les procédures internes de « placement le plus tôt possible ».
Mais les autorités chinoises ont soudainement déclaré qu’elles n’avaient pas approuvé les permis requis pour qu’une équipe d’experts en virus entre dans le pays. Mais la Chine a déjà accepté l’enquête.
La Chine est le seul pays à prétendre que le COVID-19 peut être transmis par la livraison d’aliments congelés. La Chine a même imputé les récentes flambées à Pékin et à Dalian à des marchandises d’expédition contaminées.
Une étude menée par les Centers for Disease Control de Chine a montré que les échantillons de sang de 4,43 pour cent de la population de Wuhan contenaient des anticorps COVID-19. Les résultats ont montré que le taux de transmission dans la ville était beaucoup plus élevé qu’on ne le savait auparavant.
Des recherches menées en Italie suggèrent que covid-19 pourrait avoir existé en Europe quelques mois avant le premier cas officiel en Chine. Les médias d’État chinois ont utilisé la recherche pour soutenir la théorie selon laquelle covid-19 est originaire de l’étranger et est entré en Chine par des aliments congelés contaminés ou des athlètes étrangers participant aux Jeux militaires mondiaux de Wuhan en octobre 2019.
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