JAKARTA - La Cour pénale internationale (CPI) a refusé d’enquêter sur les allégations de génocide et de crimes contre l’humanité contre les musulmans ouïghours. Selon la CPI, une enquête sur la Chine n’a pas pu être menée parce que la Chine n’est pas membre de la CPI.
En lançant l’AIIC, mardi 15 décembre, les Ouïghours ont soumis un certain nombre de documents de preuve à la CPI en juillet dernier. Le document s’attache aux allégations contre la Chine selon lesquelles elle a enfermé un million de Ouïghours et la plupart des autres minorités musulmanes dans des camps de détention.
Une représentante du bureau du procureur, Fatou Bensouda, a expliqué que l’institution dont le siège est à La Haye, aux Pays-Bas, a des exigences territoriales en matière de compétence. En l’espèce, les exigences de la juridiction n’ont pas été respectées.
Néanmoins, les Ouïghours pensent que la CPI peut effectivement agir parce que de nombreux camps de détention sont situés dans les régions tadjike et cambodgienne, qui sont incidemment membres de la CPI. Les avocats ouïghours ont demandé au tribunal de réexaminer l’enquête sur l’émergence de nouvelles preuves des crimes du gouvernement chinois.
La Chine a répondu en disant que les accusations des Ouïghours étaient sans fondement. La Chine affirme que les installations construites dans la région nord-ouest du Xinjiang sont des centres de formation professionnelle visant à tenir les gens à l’écart du terrorisme, et non des camps de détention.
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