JAKARTA - Commission III de la Chambre des représentants avec le bureau du procureur général continue d’enquêter sur le cas de défaut de pt Asuransi Jiwasraya politique qui a nui aux finances de l’État d’environ 13,7 billions. Dpr a également convenu de la création d’un comité de travail (Panja) Jiwasraya.
Vice-président de la Commission III Desmond J Mahesa en tant que président de la réunion a déclaré que le panja a été formé pour superviser l’application de la loi de l’affaire jiwasraya.
« La Chambre des représentants tiendra une réunion à huis clos avec le procureur général pour demander une explication plus approfondie du traitement de l’affaire jiwasraya et a continué par la mise en place d’un comité de surveillance de l’application de la loi Jiwasraya », a déclaré Desmond, lors d’une réunion avec le bureau du procureur général, à la Chambre des représentants, Complexe du Parlement, Senayan, Jakarta, lundi, Janvier 20.
« La mère membre peut-elle être d’accord? », a demandé Desmond, à qui le membre et le procureur général de ST Burhanuddin ont répondu.
Après la réunion, a dit M. Desmond, la prochaine réunion à huis clos de la réunion d’aujourd’hui n’a pas été discutée. Parce que la Commission III veut d’abord former Panja Jiwasraya.
« Il n’y a pas encore de plan. Nous formons panja d’abord, nous trions. Nous rencontrons les membres d’abord, puis nous rencontrons la porte fermée quand. La réunion à huis clos sera notre première interprétation de ce qui est en question dans le processus inachevé d’aujourd’hui. Il faut l’expliquer lors d’une réunion à huis clos », a-t-il déclaré.
Desmond a expliqué, il n’y a pas eu de discussions menant à la création d’un comité spécial (pansus) pour le cas de défaut de pt Asuransi Jiwasraya politique. Actuellement, la proposition n’est sondée que par la Faction démocratique.
Selon Desmond, une autre raison n’a pas été pourquoi il n’y a pas eu de discours sur la formation du pansus parce que le subtansi de base du pansus n’est pas encore clair. En outre, la commission III procède actuellement à des évaluations détaillées liées à ses subtansi de base.
« Pourquoi? Il y a des choses où ce pansus va où.cette panja va où. Dans le principe de base d’aujourd’hui avec le procureur, le point est de savoir si les clients sont payés. Comment payer? Que le gouvernement rembourse tout ou que ce soit par l’intermédiaire du bureau du procureur général procède à la saisie des biens des auteurs », a-t-il déclaré.
Ensuite, a poursuivi Desmond, si le paiement de l’argent du client se fait en confisquant les biens de l’auteur, alors il faut calculer si l’actif est équilibré avec le montant des pertes résultant de cette affaire de défaut.
« Combien ont été lésés, combien d’actifs ont été perdus aujourd’hui? Pour qu’alors l’État ne soit pas lésé, il y a l’application de la loi. Dans ce contexte, nous avons besoin de panja pour aider ensemble kejagung penser afin que les clients ne sont pas lésés, l’État n’est pas lésé », at-il expliqué.
Une autre raison a été mise en place, a dit Desmond, pour empêcher les procureurs de trouver quelque chose dont la nature a fini par être une question publique. « Parce qu’il ya déjà une présomption que ce procureur va localiser. Maintenant, avec cette panja de surveillance, nous allons remettre en question », at-il dit.
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