JAKARTA - Le dossier d’enquête pour l’affaire de trafic présumé pour les destinations turques à Mataram, West Nusa Tenggara (NTB) avec le suspect masculin HH (52) qui agit comme recruteur est déclaré complet, alias P21 étape II.
« Parce que les dossiers ont été déclarés complets, nous n’avons qu’à remettre le suspect et les preuves au procureur », a déclaré le chef de la sous-direction IV pour la jeunesse, les enfants et les femmes (Renakta) de la police régionale du NTB, AKBP Ni Made Pujawati à Mataram, rapporté par Antara, mercredi 4 Novembre.
L’enquêteur de police effectuera le transfert, at-il dit. « Nous préparons (la délégation), nous la soumettrons dès que possible », a-t-il dit.
Dans cette affaire, HH aurait envoyé un résident de Gerung, West Lombok Regency, avec les initiales ME à l’étranger sans passer par les procédures officielles du gouvernement.
La victime s’est d’abord vu offrir un emploi d’employée de salon à Dubaï, aux Émirats arabes unis, avec un salaire de Rp10 millions plus de l’argent de poche.
En collaboration avec sa femme qui travaille toujours à l’étranger, HH a finalement conquis le cœur de la victime. ME a accepté l’offre de HH, puis a soumis le tarif pour son départ.
En octobre 2019, la victime est ensuite partie pour Jakarta. Il est hébergé dans une entreprise qui fournit des travailleurs migrants indonésiens (PMI). Toutefois, me n’est finalement pas parti comme promis, mais s’est plutôt rendu en Turquie en tant que travailleur domestique.
Pendant son voyage en Turquie, ME a travaillé pour deux employeurs. Il n’a jamais senti de salaire et n’a pu durer que deux mois jusqu’à ce qu’il s’enfuie finalement pour demander une protection à l’ambassade indonésienne.
« En janvier 2020, il est retourné en Indonésie. Dès son retour, nous avons mené une enquête et réussi à arrêter HH en juillet dernier », a déclaré Pujawati.
Dans le dossier, HH est soumis à l’article 10 et/ou à l’article 11 en conjonction avec l’article 4 de la loi de la République d’Indonésie numéro 21/2007 concernant l’éradication du crime de traite des personnes Juncto article 81 et l’article 86 de la loi de la République d’Indonésie Numéro 18/2017 concernant la protection du PMI avec la menace de la plus longue peine d’emprisonnement. 15 ans et une amende maximale de 15 milliards d’IDR.
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