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JAKARTA - Français président Emmanuel Macron est revenu aux médias. Macron a dit qu’il comprenait que beaucoup de musulmans ont été choqués par la caricature du prophète Mahomet. Cependant, il n’a jamais été en mesure d’accepter que cette violence justifiée. Macron a également clarifié beaucoup de choses concernant ses vues sur l’islam.

Le Français a parlé à Al Jazeera dans une interview publiée samedi 31 octobre. A cette occasion, Macron a clarifié son point de vue sur la vie islamique mondiale.

Il est important pour lui que chacun comprenne sa position dans la polémique qui a déclenché l’assassinat d’un professeur Français’histoire, Samuel Paty. « Je comprends et je respecte que nous puissions être surpris par cette caricature », a déclaré M. Macron lundi 2 novembre.

« Je n’accepterai jamais que nous puissions justifier la violence physique pour cette caricature et je défendrai toujours dans mon pays la liberté de dire, d’écrire, de penser, de dessiner », a-t-il ajouté.

M. Macron a également réaffirmé que Français presse était libre de publier ce qu’elle voulait. Et ce qui est libéré, a déclaré Macron, n’est pas l’autorité du gouvernement.

« Mais le président pense-t-il que ce droit devrait être révoqué? La réponse est non. Parce que c’est le droit du Français peuple.

Clarification sur l’Islam

La Turquie avait auparavant mené un boycott des Français dans les pays musulmans. M. Macron l’a également souligné en affirmant qu’un certain nombre de partis avaient délibérément déformé leurs attitudes par des mensonges ces derniers jours.

Le boycott a été mené par de nombreux pays à majorité musulmane après que M. Macron a déclaré dans un discours que « l’islam est en crise ». M. Macron s’est également engagé à prendre de nouvelles mesures pour lutter contre le radicalisme islamique dans son pays.

La déclaration a été faite par Macron après l’affaire de décapitation de Samuel Paty le 16 octobre. Le professeur d’histoire-géographie a été assassiné après avoir montré des caricatures du prophète Mahomet dans une leçon sur la liberté d’expression.

Les propos de M. Macron ont déclenché des manifestations anti-Français dans les pays à majorité musulmane et un boycott des Français produits. Trois agressions ont eu lieu depuis, dont une attaque mortelle au couteau contre une église niçoise.

« J’ai vu trop de gens ces derniers jours dire des choses inacceptables sur la France, corroborer tous les mensonges qui ont été dits sur nous, sur ce que j’ai dit et secrètement être les pires complices. »

La France, a-t-il dit, ne combat pas l’islam, mais son radicalisme. « Aujourd’hui, au nom de l’islam et en déformant cette religion, les extrémistes violents font de leur mieux. »

M. Macron a également revu sa note selon qui la majorité des victimes du terrorisme au cours des quatre dernières décennies étaient musulmanes. Et M. Macron a souligné que les mesures récemment annoncées visaient également à protéger Français citoyens musulmans.

En outre, Macron a expliqué les mesures contre le radicalisme islamique qu’il voulait dire, y compris la limitation des imams de la formation à l’étranger, encourager une plus grande transparence du financement religieux, à réglementer diverses exigences liées à la « homeschooling ».

« Partout ces dernières semaines dans le monde musulman, nous essayons de rassembler les deux, en tordant mes paroles, en mentant, en disant au président de la République de Français et donc à la France, qu’ils ont un problème avec l’islam. Non, nous n’avons aucun problème. avec l’Islam. Rien. "


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