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JAKARTA - Président du Conseil de surveillance électorale (Bawaslu) Abhan a annoncé la création d’un groupe de travail (pokja) traitant les violations du protocole de santé au stade des élections de 2020.

Dans ce pokja, Bawaslu a collaboré avec le KPU, le Conseil honoraire des organisateurs électoraux (DKPP), le ministère de l’Intérieur (Kemendagri), le Groupe de travail chargé du COVID-19, le Bureau du Procureur, le TNI et la Police nationale.

« Le mandat de former ce pokja est Bawaslu pour devenir président, et les membres composés de KPU, DKPP, Ministère de l’Intérieur, TNI, Task Force, Procureur et la police », a déclaré Abhan lors d’une conférence de presse virtuelle, jeudi, Septembre 17.

Pokja traitant les violations du protocole COVID-19 a pour tâche fondamentale de socialiser massivement au public pour continuer à mettre en œuvre des protocoles de santé à chaque étape des élections régionales de 2020.

Plus tard, ce pokja impliquera les partis politiques et les équipes de campagne des candidats pour jouer un rôle actif et travailler à améliorer la conformité des protocoles de santé.

« Pokja tiendra une déclaration liée à la conformité du protocole COVID-19, à partir de la province au district de la ville, de sorte que la mise en œuvre des élections régionales de 2020 ne provoque pas le cluster COVID-19 », a expliqué Abhan.

Pendant ce temps, en lien avec la répression des violations du protocole commises par les participants aux élections, Bawaslu soumettra des actes criminels potentiels à la police.

« La police prendra des mesures décisives contre les violations des protocoles de santé COVID-19 conformément au niveau de sop qui a été mis en œuvre par la police nationale, at-il dit.

Jusqu’à présent, l’action que Bawaslu peut prendre lorsqu’il y a des candidats potentiels pour les élections de 2020 qui violent les protocoles de santé n’est qu’une réprimande, que ce soit directement ou par écrit.

Bawaslu a également transmis 243 violations des protocoles de santé enregistrées à la police. Parce que seuls les agents d’application de la loi peuvent imposer des sanctions plus sévères, à savoir pénales.

La menace criminelle est incluse dans la loi n° 4 de 1984 sur les flambées de maladies infectieuses et la loi n° 6 de 2018 sur la quarantaine sanitaire.


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