Un record en une journée de 235 cas de COVID-19 parmi les forces américaines dans la préfecture d’Okinawa au Japon a été confirmé samedi, ont annoncé des responsables locaux, à la suite d’une infection en grappes qui a éclaté le mois dernier dans l’une des bases américaines là-bas.
Il n’est pas encore clair s’il s’agit de la variante Omicron, un type très contagieux, bien qu’il ait laissé les bases militaires américaines gravement touchées, le nombre cumulé de cas de COVID-19 liés à l’armée américaine a maintenant atteint 3 613.
Les mesures de contrôle des frontières du Japon ont fait l’objet d’un examen minutieux, à la suite de l’infection du groupe au camp Hansen du Corps des Marines des États-Unis dans la préfecture de l’île du sud, qui abrite la plupart des installations militaires américaines du pays.
Selon Kyodo News le 1er janvier, plus de 250 personnes sont connues pour avoir été infectées par le coronavirus à la base.
Un responsable préfectoral a appelé les forces américaines à prendre des mesures antivirales approfondies, avertissant qu’une augmentation des infections à la base augmenterait le risque que du personnel non militaire y travaille.
Vendredi, le département d’État a déclaré que les forces américaines au Japon exigeaient désormais que tout leur personnel subisse un test de dépistage de la COVID-19 dans les 24 heures suivant leur arrivée dans le pays.
En vertu de l’accord entre le Japon et les États-Unis, les mesures de quarantaine pour le personnel militaire américain à l’arrivée sont appliquées par les États-Unis, ce qui signifie qu’ils ne sont pas soumis aux règles de quarantaine japonaises dans les aéroports.
En outre, le gouvernement japonais a déclaré que le département américain de la Défense avait exempté son personnel de subir des tests PCR en raison des progrès de la vaccination dans l’armée et de la réduction des cas d’infection dans le monde.
La force a déclaré que l’exemption avait commencé en septembre pour le personnel vacciné, qui se rendait dans ses installations au Japon à bord d’avions militaires. Depuis l’infection en grappes, ils exigent que leur personnel qui vient au Japon subisse des tests 72 heures avant le départ.
Tokyo a signalé samedi 79 nouveaux cas de COVID-19, le nombre le plus élevé depuis début octobre, poursuivant un rebond progressif dans le contexte de la propagation de la variante Omicron. La capitale du Japon est l’une des régions signalant la propagation de ces communautés variantes.
Fin novembre, le Japon a mis en place des contrôles frontaliers stricts pour empêcher la variante Omicron d’entrer en interdisant l’entrée aux ressortissants étrangers non résidents. Il a également renforcé les mesures de quarantaine pour les ressortissants japonais et les résidents étrangers qui ont récemment visité un pays ou une région particulière.
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