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BATAM - Le flux de trafic transfrontalier à travers la ville de Batam, dans les îles Riau, a été resserré en raison de l’utilisation présumée de faux résultats de tests PCR apportés par des travailleurs migrants internationaux.

L’adjoint à la gestion des urgences de l’Agence nationale de gestion des catastrophes (BNPB), Mayen TNI Fajar Setyawan, a déclaré que son parti renforçait la surveillance aux portes des frontières par le biais du transport maritime et veillait à ce que la quarantaine se déroule bien.

« Les tests d’entrée pour tous ceux qui viennent, principalement PMI, de Malaisie et de Singapour sont indispensables. En outre, nous ajouterons également de nouveaux lieux de quarantaine », a déclaré Fajar Setyawan, lors d’une réunion de coordination avec le gouverneur des îles Riau, Anshar Ahmad, cité par Antara. , jeudi 30 décembre.

La ville de Batam est l’une des deux portes d’arrivée par la mer ouvertes par le gouvernement dans la situation de pandémie de COVID-19.

Chaque jour, une moyenne de 250 personnes de Singapour et de Johor, en Malaisie, entrent en Indonésie via Batam.

Le général de division Fajar a indiqué que 2 750 lits étaient nécessaires pour les installations de quarantaine centralisées COVID-19 à Batam, à la fois celles préparées par le gouvernement et les hôtels.

Pendant ce temps, le nombre de lits disponibles est actuellement de 2 712 unités, ce qui se traduit par 38 lits de moins.

En supposant une utilisation maximale de l’hôtel, il y a toujours une pénurie de lieux de quarantaine pour les voyageurs étrangers.

« La réalité sur le terrain est qu’il y a plus d’arrivées de PMI que de non-PMI et que l’utilisation des hôtels n’est pas autant que celle des installations appartenant au gouvernement. Ainsi, des installations de quarantaine appartenant au gouvernement doivent être ajoutées afin de ne pas provoquer d’accumulation », a déclaré Fajar.

Actuellement, l’occupation des lits de quarantaine centralisés pour PMI, les étudiants et l’ASN à Batam a atteint 95%. Quant à l’hôtel de 32%.

Le porte-parole du groupe de travail covid-19, Wiku Adisasmito, a ajouté qu’au cours de la période de décembre, 353 personnes se sont révélées positives à la COVID-19.

« Ce chiffre a plus que doublé par rapport aux 168 cas de novembre. La plupart d’entre eux étaient positifs lors du deuxième test PCR. Cela montre qu’une quarantaine de 10 jours est efficace pour le dépistage, afin qu’une transmission plus large puisse être évitée », a-t-il déclaré.

Parmi les cas de transmission du COVID-19 par les voyageurs internationaux via Batam, les résultats du « séquençage du génome entier (WGF) » n’ont trouvé aucune variante d’Omicron.

Selon Wiku, la priorité de l’atténuation de la transmission de la route maritime de Batam à l’heure actuelle est de renforcer les gardes-frontières, étant donné que de nombreux indices PMI de Malaisie ont été testés positifs à la COVID-19.

« En outre, l’ajout de lits de quarantaine est également une priorité pour le gouvernement actuel afin d’anticiper une augmentation des arrivées dans les périodes de Noël et du Nouvel An 2022 », a-t-il déclaré.


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