La police de Tokyo a obtenu un mandat d’arrêt contre un ancien étudiant chinois au Japon soupçonné d’avoir tenté d’acheter illégalement un logiciel de sécurité japonais sur ordre militaire chinois, ont annoncé mardi des sources d’enquête.
Cependant, l’homme de 36 ans, identifié comme Wang Jianbin, a quitté le Japon, a déclaré la source, citant Kyodo News. La police japonaise prévoit de l’inscrire sur la liste de recherche internationale d’Interpol.
L’homme aurait utilisé une société japonaise fictive pour tenter d’acheter le logiciel, dans le cadre de transactions limitées aux seules sociétés japonaises.
L’incident s’est produit en novembre 2016, après avoir reçu des instructions de l’épouse d’un membre de l’Armée populaire de libération de la Chine (APL), et a été lié à un cas de cyberattaque impliquant prétendument l’APL.
Cependant, sa tentative d’achat a été rejetée par le vendeur car l’identité de la fausse entité japonaise n’a pas été confirmée.
Le bureau de la sécurité publique du département de la police métropolitaine pense que l’armée chinoise tente d’obtenir le logiciel afin de pouvoir identifier les failles de celui-ci, en préparation d’une autre cyberattaque.
En 2016 et 2017, environ 200 entreprises et instituts de recherche, dont l’Agence japonaise d’exploration aérospatiale, ont été touchés par des cyberattaques à grande échelle qui auraient été menées par des groupes d’espionnage chinois en vertu des directives de l’APL.
La police a renvoyé un ingénieur chinois aux procureurs soupçonnés d’avoir signé un contrat sous un faux nom pour louer le serveur utilisé pour l’attaque en avril de cette année.
Cependant, les procureurs de Tokyo ont décidé de ne pas inculper l’homme, membre du Parti communiste chinois âgé de 30 ans, en octobre, sans préciser pourquoi.
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