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L’Afrique du Sud a signalé près de 20 000 nouveaux cas de COVID-19 mercredi, un record depuis la détection de la variante Omicron, et 36 nouveaux décès liés à la COVID.

Il n’était pas immédiatement clair combien d’infections ont été causées par la variante Omicron, étant donné que seulement un faible pourcentage d’échantillons ont été séquencés, mais les experts pensent que cela a provoqué une quatrième vague d’infections en Afrique du Sud.

Les statistiques de l’Institut national des maladies infectieuses (NICD) mettent le nombre de cas confirmés dans le pays à 3,071 millions, avec plus de 90 000 décès liés à la COVID depuis le début de la pandémie.

Pendant ce temps, les preuves préliminaires suggèrent que Omicron est plus contagieux que les variantes précédentes, mais les symptômes peuvent ne pas être particulièrement graves, avec des taux d’hospitalisation plus faibles, en particulier chez les patients vaccinés.

Mais les retombées économiques pour l’Afrique du Sud, qui a été frappée par une interdiction de voyager à l’étranger depuis que ses scientifiques ont correctement identifié la variante à la fin du mois dernier, sont particulièrement prononcées.

Le président Cyril Ramaphosa rencontrera cette semaine de hauts responsables en charge de la réponse à la COVID-19 et décidera s’il convient de renforcer les restrictions sur les lock-out de bas niveau.

Cela est considéré comme moins susceptible de se produire, car la capacité de l’hôpital est loin d’être dépassée, comme lors de la vague précédente.

L’organisme de réglementation sud-africain de la santé SAHPRA a approuvé mercredi la troisième dose ou rappel du vaccin COVID-19 de Pfizer pour les adultes et les enfants de plus de 12 ans.


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