La Police Détient Immédiatement L’affaire Mukena Fetish à Malang
MALANG - La police va immédiatement mener une affaire pour un rapport fétiche mukena (hijab de prière) à Malang, Java Est.
Le chef de l’unité d’enquête criminelle de la police de la ville de Malang, le commissaire Tinton Yudho Riambodo, a déclaré que son parti avait recueilli un certain nombre de preuves et de déclarations de témoins.
« Une fois que tout aura été recueilli, nous tiendrons immédiatement une affaire pour déterminer s’il s’agit d’un acte criminel ou non », a déclaré le commissaire Tinton aux journalistes, jeudi 26 août.
Certaines des preuves recueillies se trouvent sous la forme d’une capture d’écran du compte Twitter @pecinta_mukena qui serait utilisé comme moyen d’évacuer la convoitise des amateurs de fétiches similaires.
À partir des captures d’écran, a poursuivi le commissaire Tinton, une analyse de la présence ou de l’absence d’éléments de harcèlement sexuel sera effectuée. Pour le prouver, son parti invitera des linguistes et des experts en informatique.
Plus tard, il sera traité par des linguistes de l’ITE parce qu’ils sont des experts en la matière. À partir de tout cela, nous analyserons le cas », a poursuivi le commissaire Tinton.
Non seulement cela, la police demandera également des informations aux parties liées avant de mener à bien une affaire. La police a interrogé 3 témoins qui ont été victimes du fétichisme de la mukena à Malang.
Le début de cette affaire s’est produit lorsqu’un homme a été soupçonné d’utiliser des photos de mannequins féminins portant le hijab pour servir de contenu fétichiste obscène sur Twitter.
Dans un premier temps, cette collaboration photo sera utilisée pour cataloguer une boutique en ligne. Cependant, il a été découvert plus tard que cette boutique en ligne n’était qu’une couverture. Les résultats de ces photos sont en fait utilisés comme matériel pour les fantasmes sexuels sur les médias sociaux.
Dans l’action, l’agresseur a prétendu être une femme en tant que propriétaire de magasin. Mais lors de la séance photo, cette figure féminine n’a jamais existé. Il n’y a qu’un homme qui prétend travailler également pour le propriétaire de la boutique en ligne.
Pour faire court, les victimes ont osé s’exprimer. Environ 10 victimes ont signalé ce cas par la suite parce que leur coopération a été abusée. On estime même que les victimes se comptent par dizaines.