Suparman Nyompa, Juge Qui A « libéré » Rizieq Shihab De Prison, A établi Pasantren Libre Dans Le Sud De Sulawesi
JAKARTA - Accusé Rizieq Shihab a été condamné à une amende de Rp20 millions subsider 5 mois de prison pour violation présumée des protocoles de santé (prokes) à Megamendung. Ce verdict est plus léger que les réquisitions du procureur général (JPU).
La lecture du verdict a été menée par le juge président Suparman Nyompa lors d’une audience tenue au tribunal de district de Jakarta-Est le jeudi 27 mai.
« Pénalement imposer une amende de Rp20 millions avec la disposition si elle ne peut pas payer le remboursement criminel pendant 5 mois », a déclaré Suparman Nyompa.
Il y a deux considérations dans le verdict qui sont lourdes et allécissantes. Incriminante, Rizieq a été jugé ne pas appuyer les programmes gouvernementaux visant à empêcher la propagation du COVID-19.
Tout en s’éclaircissant, Rizieq aurait tenu sa promesse de demander à ses partisans de ne pas venir au tribunal.
Rizieq, a déclaré Suparman Nyompa, est également considéré comme une figure religieuse afin qu’il puisse être un exemple pour la communauté. Ces considérations sont clairement les avantages et les inconvénients en public.
Sosok Suparman NyompaSuparman Nyompa, SH. MH est de Makassar, Sulawesi sud. En 2012, Suparman a établi pesantren dans le village de Sogi, Wajo Regency, Sulawesi sud. Le pesantren s’appelait Al Hadi Al Islami. Pesantren qu’il a fondé était gratuit pour ses étudiants.
Suparman Nyompa a créé ce pesantren pour réaliser ahlak, un vieil idéal qu’il réalise maintenant. Pour l’affaire, Suparman n’est pas une personne aveugle.
Bien avant les anciens du PN Jaktim, Suparman a été placé dans PN Pangkajene et PN Makassar. Il a déjà présidé le procès du baron international de la drogue qui a traîné Amiruddin Rahman alias Aco. Aco a été condamné à mort.
Plus précisément pour le cas de Rizieq, Suparman mène pour deux cas. Premièrement, le numéro de cas 226/Pid.B/2021/PN. Jkt.Tim où Rizieq a été inculpé de l’article 93 de la loi n° 6 de 2018 sur la quarantaine sanitaire et/ou de l’article 14 paragraphe (1) et/ou du paragraphe 216 (1) du Code pénal sur les flambées de maladies infectieuses.
Deuxièmement, numéro de cas 221/Pid.B/2021/PN. Jkt.Tim. Rizieq a été inculpé de l’article 160 du Code pénal en vertu de l’article 93 et/ou du paragraphe 216 (1) du Code pénal jo. Article 55 paragraphe (1) 1er Code pénal et/ou article 92 concernant la quarantaine sanitaire.