Suspect De La Police, Corps D’un Garçon De 7 Ans Qui Est Mort Après Avoir été Visité Par Des Créatures Surnaturelles Dans Temanggung Victimes KDRT
TEMANGGUNG - Akbp Temanggung Chef de la police Benny Setyowadi a déclaré qu’à cette époque, son parti a obtenu 4 personnes en tant que témoins liés à la mort de l’ALH (7). Il s’agissait de M, le père de la victime, puis de la mère biologique de la victime, ainsi que de H (chaman) et B.
« Le corps de l’enfant avec les initiales ALH (7) est soupçonné d’être une victime de violence domestique (KDRT), et jusqu’à la nuit dernière, nous étions encore en train de procéder à des examens », a déclaré le chef de la police Benny à Temanggung signalé d’Antara, mardi 18 mai.
ALH a été trouvé dans sa maison, Bejen Village, Temanggung Regency, Java Central (Java Central). La victime présumée est morte il y a quatre mois. Lorsque le corps a été retrouvé, la peau et les os sont restés.
« Pour les témoins, pour la plupart originaires du village de Bejen, et les enquêteurs mènent des activités sur les lieux du crime (scènes de crime) de façon plus approfondie, j’espère qu’il y aura d’autres développements », a déclaré Benny.
La découverte des restes d’ALH a jusqu’à présent été une préoccupation pour l’Internet. Des vagues de tristesse, de sympathie pour les victimes et la montée en puissance de diverses plateformes de médias sociaux.
Selon la police, l’affaire a commencé lorsque les parents de la victime ont demandé l’aide d’un chaman local en raison de la mauvaise conduite de son fils. Les parents soupçonnent leur fils d’être espiègle à cause de l’influence d’êtres surnaturels.
H, qui est chaman à l’endroit, voit alors l’état de la victime et donne ruwat.
« Le ruwat est la forme d’un enfant noyé dans l’eau, puis soulevé. C’est un motif temporaire », a-t-il dit.
Il a déclaré que l’article qui sera suspecté dans cette affaire est la loi n° 17 de 2016 sur la protection de l’enfance article 76 lettre C et article 80. Puis sous-traiter l’article 44 de la loi n° 23 de 2004 sur la violence domestique et l’article 338 du Code pénal sous peine d’une peine de 15 ans ou d’une amende de 3 milliards de rp3.