Harun Gobai Arrêté Au Camp De Casernes De PT Freeport En Raison De La Disparition De Papous

JAKARTA - Nemangkawi Task Force arrêté Harun Gobai, propriétaire du compte Facebook d’Enago Wamoki. Il a diffusé du contenu lié à la question du génocide des Papous. Alors, fais attention avec ton pouce.

Gobai a été arrêté le mercredi 5 mai, alors qu’il se trouvait au Mess Ridje Camp Barak U PT Freeport Mile 72, Tembarapura, Mimika Regency, Papouasie.

« Cyber Task Force Ops Nemangkawi arrêté le propriétaire du compte Facebook Enago Wamoki répandre discours de haine ci-dessus, » Kasatgas Public Relations Operation Nemangkawi, Kombes Iqbal Alqudusy a déclaré aux journalistes, rapporté par Djawanews, jeudi 6 mai.

Iqbal a expliqué qu’il y a au moins deux contenus qui auraient violé le code pénal. Tout d’abord, la narration a été téléchargée par le compte le 20 avril 2021 vers 03:42 WIT.

Quant à l’écriture du téléchargement est: « Tous les papous en PAPOUASIe sorong à merauke hati2 dans et hors parce que nous papous sont le point de vue de l’État de la République d’Indonésie en termes de TNI / POLRI, BIN BAIS, KOPASUS etc. leurs points de vue, nous sommes tous TPNPB / OPM pour la raison de leur but tout OAP en PAPOUASIe musnakan / dépenser sur leurs propres terres ».

Puis, bien avant cela, il avait tweeté sur l’échec du gouvernement à mettre en œuvre l’autonomie spéciale (Otsus) qui a conduit à une série de violences en Papouasie. Le téléchargement a été effectué en juillet 2020.

« La police continuera à mener l’application de la loi contre les comptes de provocation qui incitent à la haine, l’hostilité basée sur la LEP, actuellement le suspect est examiné à la police mimika. Passé un examen numérique médico-légal de la preuve et coordonné avec les avocats du suspect ainsi que des experts », at-il dit.

Pour ses actes, le suspect a été pris au piège à l’article 45 d’un paragraphe (2) jo article 28 paragraphe 2 de la loi n° 19 de 2016 sur la modification de la loi n° 11 de 2008 qui se lit comme suit : « Toute personne délibérément et sans droit de diffuser des informations visant à inciter à la haine ou à l’hostilité de certaines personnes et/ou groupes communautaires fondés sur l’ethnicité, la race et l’intersyniculture (SARA)