Le président Prabowo s'est rendu au Brésil après le sommet du G20 au Brésil
JAKARTA - Le président Prabowo Subianto est parti pour le Royaume-Uni mardi soir, après avoir assisté au sommet du G20 à Rio de Janeiro, au Brésil.
Le président Prabowo a quitté Rio de Janeiro, au Brésil, depuis l’aéroport de base Aerao do Galeao, au Brésil, vers 17h30.m heure locale.
Le président semblait avoir bordé un avion présidentiel accompagné du ministre des Affaires étrangères Sugiono et du secrétaire du Cabinet Teddy Indra Wijaya.
Le président Prabowo semblait porter une chemise blanche portant une chemise noire et un chapeau bleu de la marine.
Auparavant, le président Prabowo avait assisté à une série d’activités du sommet du G20 au Brésil ainsi qu’à des réunions bilatérales avec un certain nombre de chefs d’État membres du G20 et le secrétaire général de l’ONU, Antonio bod kons, les 18 et 19 novembre 2024.
Un certain nombre de chefs d’État du G20 qui avaient auparavant organisé un programme bilatéral avec le président Prabowo comprenaient le président Tanzanie, Samia Suluhu Hasan, le Premier ministre indien Narendra Modi et le président Français Emmanuel Macron.
En outre, le président Prabowo a également rencontré les dirigeants de la MITTA (Mexique, Indonésie, République de Corée, Turquie et Australie), du Forum d’affaires Indonésie-Brésiliens et a assisté à l’ordre du jour du sommet du G20 au Museum de seni Moderna (Museu de l’art et du moderne).
Après avoir quitté le Brésil, le chef de l’État s’est immédiatement rendu au Royaume-Uni. Au Royaume-Uni, le président Prabowo devrait rencontrer le roi de l’Angleterre Charles III et le Premier ministre britannique Keir Starmer.
Le président Prabowo est optimiste quant à la possibilité d’attirer des investissements lors d’une réunion bilatérale avec le Premier ministre britannique Keir Starmer. C’est ce qu’a été transmis par Prabowo en marge de ses activités pour assister au sommet du G20 au Brésil, dimanche (17/11).
« Plus tard, je vais chez moi, je vais au Royaume-Uni aussi pour parler de problèmes économiques, la possibilité que nous puissions attirer des investissements », a-t-il déclaré.