L’affaire de détournement illégal à Kalteng Rugikan State Rp2,72 M, 1 sur 3 suspects est toujours DPO

JAKARTA - La Direction générale de l’application de la loi (Gakkum) du ministère de l’Environnement et des Forêts (KLHK) a révélé des cas de exploitation illégale sous la forme d’excavation de bois en dehors de permis de concession dans la zone forestière de la régence de Katingan, Kalimantan central (Kalteng).

Dans cette affaire, trois suspects, à savoir DK (56) et le directeur et directeur et directeur de l’estate de PT ABL initiales MAW (61) ont été détenus à Rutan Salemba Jakarta.

Alors que le suspect, un autre président directeur de PT GPB ainsi que l’entrepreneur de la saisie de licences pour exploiter les forêts et les plants industriels (PBPH-HTI) PT ABL initiales HT (44) est entré dans le DPO dans la poursuite Direskrimsus Polda Kalteng.

« Nous transmettons en ce qui concerne l’application de la loi contre le directeur de PT GBP, ainsi que le directeur et le directeur d’estats de PT ABL. Mais l’activité menée est qu’ils effectuent des dépenses sans autorisation dans les zones de concession d’autres parties », a déclaré le directeur général de Gakkum KLHK, Rasio Ridho Sani, lors d’une conférence de presse tenue à Jakarta, mardi 12 novembre, cité par Antara.

Sur la base d’une enquête menée en septembre 2023-janvier 2024, on sait que le crime de harcèlement illicite impliquait HT (44).

HT, en tant qu’entrepreneur de PBPH-HTI PT ABL, a effectué des allées en dehors de la zone de permis de concession de PT ABL qui dispose d’un permis de gérer une superficie de concession de 11 580 hectares.

Le résultat de cette activité d’excavation illégale a généré un volume de bois d’environ 1 819 mètres cubes et est estimé à coûter au pays pour 2,72 milliards de roupies.

« Cette valeur ne comprend pas les pertes environnementales causées », a-t-il déclaré.

Sur la base de l’enquête, PT ABL n’a pas non plus effectué de activités d’investissement comme il devrait être, et ne effectue que des éclats en utilisant les services d’entrepreneurs.

Pour leurs actes, les trois suspects dans cette affaire ont été accusés de l’article 82, paragraphe 1, lettre a et/ou de l’article 83, paragraphe 1, lettre a et/ou de l’article 85, paragraphe 1, et/ou de l’article 94, paragraphe 1, lettre a, de la loi Ri n° 18 de 2013 sur la prévention et l’éradication de la déforestation, et/ou de l’article 78, paragraphe 6, de la loi n° 41 de 1999 sur les forêts, telle que modifiée par la loi n° 6 de 2023 sur la établissement de règlements gouvernementaux en remplacement de la loi n° 2 de 2022 sur le droit d’au, jo article 55 paragraphe 1 à 1 du Code pénal.

Avec la menace d’une peine d’emprisonnement maximale de 15 ans et d’une amende maximale de 100 milliards de roupies.