Le président du PWI au poste : les enfants de Zulmansyah risquent actuellement de 8 ans de prison

JAKARTA - Des dizaines de personnes inconnues seraient entrées dans le 4ème étage du bâtiment central de l’Association indonésienne des journalistes (PWI), situé à Jalan Kebon Sirih, dans le centre de Jakarta, mardi (1/10).

L’incident a suscité des tensions, surtout après que le groupe de personnes a enfermé le président (Ketum) Hendry Ch Bangun et le trésorier général (Bendum) Muhammad Nasir au siège du PWI, au 4ème étage du Conseil de presse.

Selon les informations recueillies, l’incident s’est produit vers 23h20 WIB. Un groupe de personnes composé de dizaines de personnes a fermé l’accès à la seule sortie à l’intérieur de la pièce en installant une chaîne et en scellant la porte avec du papier.

À la suite de cette action, le président général et le trésorier général du PWI central n’ont pas pu sortir de la salle.

Un certain nombre de témoins oculaires ont déclaré que le blocage avait duré assez longtemps et que la situation était sur le 4ème étage du bâtiment central du PWI.

Plusieurs membres du personnel et membres de PWI qui étaient sur les lieux au moment de l’incident étaient également inquiets et incapables de voir la situation se réchauffer.

Sur la base d’une recherche de droit, l’acte est soupçonné d’avoir violé l’article 333 paragraphe 1 du Code pénal et l’article 446 paragraphe 1 de la loi n° 1 de 2023. L’article 333 paragraphe 1 du Code pénal dispose: « Quiconque saupe intentionnellement et contre la loi de saisir une personne de la liberté, ou poursuivra un tel privage de liberté, est menacé d’une peine d’emprisonnement maximale de 8 ans. »

Cet article est très pertinent étant donné que les actes ont été commis dans le but d’empêcher la liberté de mouvement du Président général et du trésorier du PWI central.

Jusqu’à ce que cette nouvelle soit communiquée, la police enquête toujours sur l’incident.

Le PWI central lui-même a exprimé des accusations contre des actions qui nuisent à la liberté et à la sécurité des membres de leurs organisations.

Le secrétaire général du PWI central, Iqbal Irsyad, a déclaré: « Nous condamnons fermement les actions d’intimidation et d’intimidation contre le président général et le trésorier général. C’est un acte immcivalisé et contraire à la loi applicable dans notre pays. »

Le PWI central demande que les auteurs soient immédiatement identifiés et jugés conformément à la loi applicable. Cette action est considérée comme une menace sérieuse contre les organisations qui défend la liberté de la presse et l’indépendance individuelle.

Sur la base des faits existants, cette affaire pourrait être un accent national lié aux questions de sécurité pour les organisations de presse telles que PWI. De nombreuses parties attendent le développement de cette affaire dans l’espoir d’il y aura des mesures légales strictes pour éviter une répétition d’incidents similaires à l’avenir.