Une nouvelle variante du waqx augmentée en Ouganda pourrait se propager de peau à peau
CAMPALA - Le nombre de cas de waqx (pox singe) a augmenté en Ouganda, qui découle d’une nouvelle variante. Les responsables de la santé du pays africain ont signalé 11 patients détectés jusqu’à samedi. Cependant, jusqu’à présent, aucun patient n’a été décédé de suite à l’infection par le virus.
Selon le directeur général des services de santé du ministère ougandais de la Santé, Henry Gtyanga Mwebesa, cité par ANTARA, dimanche 15 septembre, tous les patients infectés par la variante du virus clade 1b. Cette variante est plus mortelle et peut se propager par contact de peau au peau.
Les autorités sanitaires ougandaises ont signalé pour la première fois l’épidémie du maladie le 24 juillet 2024. Ils ont noté que le virus est entré en Ouganda depuis la République démocratique du Congo (RD).
L’Ouganda est aux frontières du RD Congo, le premier pays à signaler une épidémie d’épidémie d’exode en janvier 2023.
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a déclaré bénéfice, connue sous le nom de la peste singe, une urgence sanitaire publique et est devenue une préoccupation internationale le 14 août 2024. Ce statut a été remis par l’OMS après l’émergence d’une nouvelle variante qui semble être plus facilement propagée entre humains.
Mais l’OMS souligne également que l’Ashimx n’est pas une nouvelle pandémie de Covid. Selon l’OMS, la région d’Afrique connaît actuellement une augmentation des cas, avec 14 pays touchés.
Presque tous les cas signalés en Afrique viennent du Congo RD, où la majeure partie des plus de 500 décès dus au retard de retard de chalandise ont été enregistrés.
L’infection au waqx provoque des symptômes ressemblant à la grippe et aux ecchymoses contenant de la méthamphétamine, ainsi qu’à travers un contact physique étroit. La maladie peut également se transmettre par des objets infectés par le virus tels que les lits, les vêtements et les serviettes.
La maladie est généralement légère mais peut également être mortelle.