Après être Devenu Suspect Depuis 2015, KPK A Finalement Arrêté L’ex-président Pelindo II RJ Lino

JAKARTA - Après avoir été désigné comme suspect depuis décembre 2015, la Commission d’éradication de la corruption (KPK) a finalement officiellement arrêté l’ancien président directeur (pdg) de PT Pelindo II, Richard Joost Lino ou RJ Lino.

Il a été arrêté après avoir terminé son examen en tant que suspect dans l’affaire de corruption présumée dans l’achat de trois unités de Quay Container Crane (QCC) au PT Pelindo II.

« Aujourd’hui, nous transmettons des informations relatives à la détention du suspect RJL (RJ Lino), ancien directeur du PT Pelindo II », a déclaré alexander Marwata, vice-président de KPK, lors d’une conférence de presse sur le compte YouTube de KPK RI, vendredi 26 mars.

RJ Lino purgera ensuite une peine de prison pour les 20 prochains jours à la Maison Blanche de Kpk (Rutan).

Cependant, avant cela, il va d’abord subir l’auto-isolement pendant 14 jours à Rutan KPK Kavling C1 Branche. Cela doit être fait pour empêcher la propagation du COVID-19 dans les prisons.

« Comme la réalisation des protocoles de santé pour la prévention de Covid-19 dans l’environnement Rutan KPK sera menée auto-isolement pendant 14 jours dans Rutan KPK Branche à aclc kpk bâtiment à Kavling C1, at-il dit.

Parallèlement, dans l’enquête sur l’affaire menée depuis 2015, KPK a recueilli des éléments de preuve sous la forme d’informations de 74 témoins et la saisie de divers documents liés à la corruption présumée.

En l’espèce, RJ Lino aurait pris rendez-vous directement avec une société chinoise, à savoir HuaDong Heavy Machinery (HDHM), dans le cadre de l’acquisition de trois unités QCC au PT Pelindo II.

Pour ses actes, RJ Lino est alors soupçonné d’avoir violé l’article 2 paragraphe (1) et/ou l’article 3 de la loi n° 31 de 1999 concernant l’éradication des crimes de corruption tel que modifié par la loi n° 20 de 2001 concernant les amendements à la loi n° 31 de 1999 concernant l’éradication des crimes de corruption Jo Article 55 paragraphe (1) 1er Code pénal.