D'orientation différente, la cause de la menace d'Anies lors des élections de Jakarta
JAKARTA – Les chances d’Anies Baswedan de se présenter à l’élection de Jakarta de 2024 se sont assouplissées après que PKS et le Parti NasDem ont déclaré qu’ils évaluaient les recommandations précédemment données au gouverneur du gouvernement.
Selon un observateur politique de l’Université nationale, Robi Nurhadi, la possibilité d’Anies de ne pas se présenter à l’élection de Jakarta n’est pas surprenante. Parce qu’il y a une différence d’orientation entre Anies et les partis qui porteront.
« M. Anies considère que les intérêts des habitants de Jakarta sont plus importants pour être répondu, par exemple dans un contexte, par exemple pour rendre heureux à leurs citoyens, pour aller de l’avant dans sa ville. Mais pour les partis politiques, ce qui est mis en avant, c’est ce qu’ils ont obtenu », a-t-il déclaré, dimanche 11 août 2024.
Robi appelle PKS l’un d’exemple. PKS est considéré comme prioritait ses cadres pour être un cagub-cawagub par rapport aux intérêts des résidents de Jakarta. Cela pourrait également se produire dans d’autres partis politiques, y compris le NasDem Party et le PKB.
En fait, si la volonté politique de PKS, Nasdem et PKB est très forte, les trois partis politiques ne sont pas difficiles à porter Anies parce que le nombre de cours est suffisant. PKS a 18 places de la DPRD à Jakarta, le Nasdem Party 11 places et PKB 10.
Le nombre de 39 sièges de la DPRD de Jakarta sur les trois partis politiques est déjà plus que suffisant pour porter Anies, car le nombre minimum de partis politiques ou de partis politiques combinés portant une paire de candidats est de 22 sièges de la DPRD de Jakarta.
« Mais ce qui s’est passé, c’est que tout est sur la scène, même si les habitants de Jakarta ne sont pas stupides de voir quelque chose comme ça », a-t-il déclaré.
Robi a souligné que cette attitude parpol concernant les élections de Jakarta aura des conséquences sur les attentes du public, ce qui entraînera en fin de compte la confiance ou la méfiance du public envers ces partis.