Publier le premier cas de dopage aux Jeux olympiques de Paris, dissuade le premier élève irakien

JAKARTA - L’Agence internationale de dépistage (ITA) a découvert que le premier cas de dopage s’est produit aux Jeux olympiques de Paris de 2024. Un homme d’origine irakienne a été testé positif à l’utilisation de stéroïdes anabolisants interdits par les athlètes.

L’ITE, qui gère un programme antidopage indépendant pour les Jeux olympiques de Paris, a déclaré qu’un échantillon prélevé de la méthamphétamine irakienne nommé Kajjad Sehen avait « produit des résultats analitiques désavantagants liés aux substances interdites de la méthamphétamine et de la Boldenone ».

Cité par ANTARA, les deux médicaments ont été interdits par l’Agence mondiale antidopage, rapporte l’AFP samedi WIB. L’échantillon a été prélevé par l’ITA lors d’un examen antidopage en dehors de la compétition le mardi 23 juillet à Paris, puis les résultats ont été signalés au laboratoire parisien acccrédité par l’AMA le jeudi 25 juillet.

L’athlète olympique de 28 ans qui a participé pour la première fois aux Jeux olympiques devrait concourir la semaine prochaine dans le classement de 81 kilogrammes masculins.

Le communiqué de l’ITE a déclaré que l’athlète avait été suspendu jusqu’à ce que le problème soit résolu, conformément aux règles antidopage.

« L’athlète est interdit de concourir, d’entraîner, d’entraîner ou de participer à toute activité pendant les Jeux olympiques de Paris de 2024 », ont-ils déclaré.

« L’athlète s’est réservé le droit de s’opposer à la suspension devant le tribunal d’arbitrage sportif - la Division antidopage », ont-ils poursuivi. Sehen s’est également tenu de demander une analyse d’échantillon B.