Mère Restui Son Fils Devenir Un Psk, Révélé De L’affaire Assassiner à Kediri
JAKARTA - Une mère de Bandung, Java-Ouest a approuvé sa fille mineure pour devenir une travailleuse du sexe commerciale (PSK) en ligne à Kediri.
« Les parents et les muncikari comprennent que leurs enfants le font », a déclaré le chef de l’unité de reserse et criminelle de la police municipale de Kediri, L’AKP Verawaty Thaib, lors d’une affaire à Mapolres Kediri Kota, rapportée par Antara, mardi 9 mars.
L’affaire des pratiques de prostitution impliquant des mineurs dans la ville de Kediri a été révélée à partir de l’affaire de meurtre contre M (16), un résident de Bandung, Java-Ouest.
La victime a été retrouvée assassinée le dimanche 28 février vers 16 h 15 .m chambre d’hôtel de la ville de Kediri. Le directeur de l’hôtel a signalé la découverte d’un corps imbibé de sang dans la chambre d’hôtel.
Dans son mode, dit AKP Verawaty Thaib, l’agresseur offre un massage qui se termine par un service immoral. Les auteurs se sont également installés dans plusieurs villes de l’est de Java.
Dans une journée, ils ciblent devrait être en mesure de clients, puis l’argent des résultats de ces services pour les besoins quotidiens, y compris pour l’hébergement et les repas.
Dans leurs opérations, ils profitent du service, l’application d’amitié michat. Toutefois, lorsque l’affaire s’est produite, l’agresseur a eu le temps de retirer des éléments de preuve de la demande afin que la police ait besoin de temps pour faire le suivi.
N a prétendu être forcé de poursuivre l’entreprise parce qu’elle était empêtrée dans la dette. Il ya des arriérés d’environ Rp4 millions de loyer. « J’ai une dette. Quand ça sera payé, on rentrera à la maison. En outre, aussi envoyer de l’argent pour acheter du lait pour enfants »,a déclaré N.
Depuis l’arrestation des trois hommes, la police a obtenu un certain nombre de preuves sous forme d’argent comptant s’élève à Rp2,4 millions, téléphones mobiles, ainsi que des livres de transactions de compte et un certain nombre d’autres éléments de preuve.
Les auteurs seront pris au piège par la Loi sur la protection de l’enfance avec la menace d’une peine d’emprisonnement minimale de 5 ans et d’un maximum de 15 ans de prison.