Tante qui a tué son petit-fils à Kosambi admet malade de ne pas avoir prêt de 300 000 IDR par la mère de la victime
TANGERANG – L’affaire du meurtre d’un garçon de 7 ans perpétrée par le tante de la victime à Kosambi, dans la régence de Tangerang, a été motivée par un prêt d’argent. L’agresseur présumé a affirmé être blessé par la mère de la victime parce qu’il n’avait pas emprunté 300 000 roupies.
Le chef de la police du métro de la ville de Tangerang, Kombes Zain Dwi Nugroho, a expliqué que LN (40 ans) avait tué son petit-fils de 7 ans de maladie contre la mère de la victime. Interrogé sur le but de emprunter de l’argent, Zain n’a pas été en mesure de transmettre.
« (Le motif) est parce que c’est de la chaleur à la mère de la victime. Lorsqu’on veut emprunter 300 000 roupies, mais ne pas être donné », a déclaré Zain Dwi Nugroho dans sa déclaration du mercredi 24 avril.
LN, qui était contrariée, a exprimé sa colère en couvrant le visage de la victime d’un couvre-gorge.
« L’agresseur a tué la vie de la victime en lui faisant usurper à l’aide d’un couteau pendant environ 10 minutes », a-t-il déclaré.
En outre, lorsque la victime était inconsciente, LN a libéré une boucille d’or sur le front de la victime.
« Ensuite, essayez d’éliminer les empreintes en retraitant les sourcils de la victime et en la garde sous le serrure près de la salle de bain. Afin de penser que la victime du vol a tué sa vie », a-t-il déclaré.
Zain a continué, les parents de la victime qui ont trouvé son fils avec un véhicule électrique déposé non loin de la maison de la victime fermée par les coups de machette. Il a immédiatement emmené son enfant à l’hôpital, mais sa vie n’a pas été aidée.
La police qui a obtenu l’information a immédiatement mené une enquête et interrogé des témoins sur les lieux. Le résultat est soupçonné d’être le tante de la victime avec les initiales LN, parce que la dernière personne était avec la victime.
Pour ses actes, LN a été emmené au poste de police de Teluknaga. Il a été désigné comme suspect et a été pris au piège en vertu de l’article 80 paragraphe (3) jo article 76 C de la loi n° 23 de 2002 sur la protection de l’enfance ou article 338 du Code pénal.