Hendak Warung, 12 jeunes à Pesanggrahan Jaksel Digelandang à la police

JAKARTA – Au total, 12 adolescents ont été emmenés au poste de police de Pesanggrahan, dans le sud de Jakarta, pour subir un examen de police. Ils ont été arrêtés pour avoir été impliqués dans des combats de sarong qui étaient considérés comme dangereux.

Le chef de la police de la Défense de Kompol, Tedjo Asmoro, a déclaré que des dizaines d’adolescents avaient été arrêtés le vendredi 15 mars à 02h30 WIB.

« Il y a eu 12 adolescents qui voulaient mener une bagarre (guerre) avec des sarongs entre adolescents », a déclaré Tedjo dans son communiqué, vendredi 15 mars.

Tedjo a expliqué que les actions de dizaines d’adolescents avaient été signalées au public liées à des activités dangereuses à Jalan Jamblang, Petukangan, Pesanggrahan, dans le sud de Jakarta.

Pour éviter les choses indésirables, il s’est immédiatement rendu sur place pour faire des raids.

« Les adolescents de l’interdiction de Ciledug avec des adolescents de Joglo Kembangan qui prévoient de mener une bataille (guerre) sur le dos autour de JORR North Petukangan », a-t-il déclaré.

Il n’y a pas encore d’informations sur le prochain processus, mais il est certain que les auteurs seront enregistrés au poste de police local.

« En outre, il a été emmené au siège de la police de Pesanggrahan pour une enquête plus approfondie », a-t-il conclu.

Comme on le sait, les actions de la guerre des sarong sont considérées comme interférant avec l’ordre public. Les auteurs ont délibérément inséré des pierres, des Sleighs, du fer ou d’autres objets dans la fente des sarongs dans le but de blesser leurs adversaires. Par conséquent, cela ne peut pas être laissé et considéré comme un délit adolescent.

Le processus pénal est prêt à s’arrêter si les auteurs ont été prouvés en violation des articles de la loi, en particulier du Code criminel.

Les auteurs de conflit de guerre sarong peuvent être accusés de la loi indonésienne n ° 35 de 2014 portant amendements à la loi n ° 23 de 2002 sur la protection de l’enfance visée à l’article 76 C Article 80 paragraphes 1 et 2 et à l’article 170 du Code pénal sur le vol avec la menace d’une peine d’emprisonnement supérieure à 5 ans de prison.

Si l’acte de guerre conduit à la mort d’une autre personne, l’auteur peut être accusé de l’article 338 du Code pénal, qui risque une peine d’emprisonnement maximale de quinze ans.