La police de MUsi Rawas perquisitionne d’autres réseaux dans le cas de propriété de 40 particules d’ecstasy

MUI RAWAS - La police de Musi Rawas, dans le sud de Sumatra, enquête sur le cas d’un suspect de possession de 40 éléments d’ecstasy dans la région.« Nous sommes toujours en train d’approfondir, dans la mesure où cette personne concernée ou suspecte est impliquée dans les marchandises illicites », a déclaré le chef des stupéfiants de la police de Musi Rawas AKP Romi dans son rapport à Musi Rawas, Antara, vendredi 26 janvier.Le suspect portant les initiales JP est un résident de la ville de Lubuklinggau qui a été arrêté par la police de Musi Rawas pour avoir jusqu’à 40 pilules d’ecstasy.JP a été arrêté alors qu’il se trouvait sur Jalan H Syueb précisément dans le village d’Air Satan, sous-district de Muara Beliti, régence de Mura, Sumatra du Sud le mercredi 24 janvier 2024.AKP Romi a expliqué que le suspect a été arrêté sur la base du rapport de police Lp-A / 05 / I /2024 / SPKT.SATRESNARKOBA / RES Mura / SUMSEL.En commençant par le moment où les membres reçoivent un rapport de la part des résidents, qu’il y a des auteurs qui font souvent des transactions de stupéfiants. Ensuite, une enquête a été menée et on sait que l’agresseur passera sur Jalan H Syueb, précisément dans le village d’Air Satan, sous-district de Muara Beliti.Sans penser à la longueur des membres ont enfermé le suspect. Lors de la perquisition, des preuves ont été trouvées, un paquet de boîtes de cigarettes de type filtre dans lequel il y avait quatre paquets en plastique transparent de taille modérée contenant 40 pilules violettes avec le logo PP d’ecstasy type PP pesant 16,22 grammes.Les preuves ont été trouvées sur le bord de la route délibérément stockée par l’agresseur à environ 10 mètres de l’agresseur de l’arrestation, et l’agresseur a admis que les preuves étaient les siennes.Maintenant, le suspect a été détenu au siège de la police régionale de Musi Rawas et le suspect a violé l’article 114 paragraphe 2 et ou l’article 112 paragraphe 2 de la loi indonésienne n° 35 de 2009 sur les stupéfiants, avec une menace d’au moins 4 (quatre) ans et d’un maximum de 12 (douze) ans et une amende pénale d’au moins 800 000 000,00 IDR (huit cents millions de roupies).