Yusril Ihza Mahendra présenté comme témoin d’allégresse pour Firli Bahuri

JAKARTA - Le président de la Commission d’éradication de la corruption (KPK), Firli Bahuri, a présenté trois témoins atténuants ou d’accusation dans l’affaire d’extorsion présumée contre l’ancien ministre de l’Agriculture, Syahrul Yasin Limpo, qui l’a établi comme suspect. L’un d’eux est un juriste, Yusril Ihza Mahendra.

« (Les trois témoins ont soulagé) le professeur Romli Atmasasmita, le professeur Yusril Ihza Mahendra et le professeur Suparji Ahmad », a déclaré l’avocat de Firli Bahuri, Ian Iskandar, contacté le vendredi 22 décembre.

Les trois noms de témoins atténuants ont été soumis aux enquêteurs de la police de Metro Jaya par une lettre enregistrée sous le numéro 251 / IISPA / XII / 23 datée du 20 décembre.

Les trois nominations ont été effectuées peu de temps après que le vice-président du KPK, Alexander Marwata, ait rejeté la demande de Firli Bahuri.

Le directeur des enquêtes criminelles spéciales de la police de Metro Jaya, Kombes Ade Safri Simanjuntak, a précédemment mentionné que Firli Bahuri avait inclus un nouveau témoin atténuant.

La question a été transmise en informant les raisons de l’absence du président inactif de KPK lors de l’examen le jeudi 21 décembre.

Le nom du témoin a de charge est également en dehors de la déclaration de Firli Bahuri qui est enregistrée dans le dossier de l’événement d’examen (BAP) du 1er décembre.

« (Le nom) Out qui a été expliqué dans l’événement d’enquête du suspect le 1er décembre 2023 », a déclaré Ade.

Pour rappeler, Firli Bahuri a été désigné comme suspect sur la base des résultats du titre de l’affaire menée le mercredi 22 novembre. Cependant, jusqu’à présent, aucune détention n’a été effectuée.

Dans cette affaire, Firli Bahuri a été accusé de l’article 12e ou de l’article 12 B ou de l’article 11 de la loi n° 31 de 1999 sur l’élimination des actes criminels de corruption telle que modifiée et complétée par la loi n° 20 de 2001 sur l’élimination des actes criminels de corruption Jo article 65 du Code pénal.