Gus Dur Et Megawati, 2 Figures Qui Ont Joué Un Rôle Dans L’échouement Du Nouvel An Chinois En Indonésie, Lever L’interdiction Jusqu’à L’établissement D’une Fête Nationale
JAKARTA - Les célébrations du Nouvel An chinois depuis l’ère du président Abdurrahman Wahid et du président Megawati Soekarnoputri sont à nouveau célébrées librement.
Cette célébration est comme renforcer la sensibilisation tout en soutenant la diversité, en célébrant la diversité de l’Indonésie, une nation indépendante, la souveraineté, la personnalité dans la culture, l’équité et la prospérité.
L’historienNe Bonnie Triyana a déclaré que le président Abdurrahman Wahid ou familièrement appelé Wahid a levé ouvertement l’interdiction des célébrations du Nouvel An chinois, comme le stipule le décret présidentiel n° 14/1967.
À l’époque, le président Wahid, par décret présidentiel n° 6/2000, a révoqué le décret présidentiel n° 14/1967.
« Alors que le président Megawati Soekarnoputri a publié le décret présidentiel n° 19/2002 qui désignait le Nouvel An chinois comme fête nationale », a expliqué Bonnie, qui était l’une des porte-parole du DPP PDI Perjuangan (PDIP), Imlekan Bareng Banteng, vendredi 12 février.
Ces deux figures sont la grande influence jusqu’à ce que les célébrations du Nouvel An chinois puissent être célébrées librement. Avec le recul, il ya aussi la figure du président de RI-1, Soekarno (Bung Karno) qui a fermement rejeté le traitement de discrimination de manusi.
Bonnie a expliqué, le 1er juin 1945, que Bung Karno a déclaré sans équivoque dans son discours que le nationalisme indonésien est un nationalisme moderne qui ense fait obstacle aux étroites barrières de l’identité religieuse, de la race et de l’ethnicité.
Selon Bung Karno, l’Indonésie est un pays pour tous les groupes unis par un sentiment d’égalité face au colonialisme et à divers types d’oppression par les humains contre les autres et par une nation contre d’autres nations.
Il a ajouté que la sensibilisation nationale s’est renforcée depuis l’écho de l’Engagement pour la jeunesse le 28 octobre 1928, renforçant ainsi la prise de conscience nationale qui a été pionnière depuis le début du XXe siècle.
« La prise de conscience en tant que nation à égalité avec d’autres nations était une position ferme contre les politiques racistes du gouvernement colonial néerlandais à travers le Reglement Regeerings de 1854 qui a divisé la société néerlandaise des Indes orientales en ségrégation raciale à savoir: d’abord, les Européens, les deux Orientaux étrangers (Chine, Arabie, Inde) et les trois Inlanders (bumiputera) », a déclaré Bonnie.
La division raciale de la société en Indonésie montre la réalité d’une époque où les gens sont considérés en fonction de leur race.
Voyant ce fait, l’engagement de la jeunesse de 1928 est devenu une étape historique importante sous la forme de renforcer la conscience indonésienne comme une anti-thèse de la conscience pré-indonésienne qui est encore enchaîné à des manières discriminatoires et racistes et des actions.
« Ainsi, la politique identitaire qui est souvent joué à ce jour est une forme de conscience pré-indonésienne qui est pleine de nuances coloniales et non pas en accord avec l’âme de l’indépendance », a conclu Bonnie.