Horrifiant, Cas De Maltraitance D’enfants Par Persuased Donner De L’argent Jajan Rp1.000 Découvert à Batam

JAKARTA - Riau Islands Regional Police a découvert un cas d’adultère contre des mineurs en mode séduction et rp1,000 argent snack.

« Son modus operandi est que le suspect a persuadé les mineurs en donnant rp1.000 en argent snack », a déclaré Kasubbid Penmas des relations publiques de la police de Kepri AKBP Imran à Batam, Îles Riau, a rapporté Antara, mercredi, Février 3.

Les policiers de Kepri ont arrêté le suspect de fornication UT (47) à sa résidence batam mardi matin. Interrogé par les enquêteurs, a-t-il dit, le suspect a affirmé qu’il y avait six femmes victimes âgées de quatre à sept ans.

« Ce suspect était un résident d’une affaire de meurtre à Dabok Singkep en 2004 et a purgé six ans de sa peine, at-il dit.

Le chef du sous-district IV du département de police de Kepri AKBP Dhani Catra Nugraha a déclaré que l’affaire découlait d’un rapport d’une mère d’une fillette de quatre ans qui avait été maltraitée par un voisin le 1er février.

« Cette affaire continuera d’être étudiée et n’exclut pas la possibilité de nombreuses autres victimes », a-t-il dit.

Selon lui, la plupart des victimes d’adultère sont des enfants de moins de cinq ans.

« Au moment où nous avons examiné ce suspect, il y avait beaucoup d’oubli, mais bien sûr notre enquête ne s’est pas arrêtée là, dit-il.

En ce qui a été la castration chimique, il l’a laissée au juge qui a par la suite tranché.

« Ce qui est clair, c’est que ce suspect a déjà purgé une peine pour meurtre, ce suspect est un résident et je suis sûr que la peine sera encore plus sévère, at-il dit.

Les autorités ont obtenu des éléments de preuve sous la forme d’un pantalon d’enfant, d’une chemise à manches longues, d’un jouet pour enfants, d’un t-shirt, d’un short rayé, d’un sous-vêtement, d’un t-shirt et d’une feuille d’argent rp1 000.

Le suspect est pris au piège de l’article 82 paragraphe (1) et du paragraphe (4) de la loi n° 17 de 2016 concernant la mise en place de la loi de 1 an 2016 sur la réglementation gouvernementale des suppléants concernant le deuxième amendement de la loi n° 23 de 2002 concernant la protection de l’enfance dans la loi, avec une menace pénale d’au moins cinq ans et un maximum de 15 ans et une amende de Rp15 milliards.