Le Secteur Du Tourisme Est Toujours Accusé D’être Un Nouveau Cluster De Diffusion COVID-19
JAKARTA - La pandémie COVID-19 a rendu le secteur du tourisme très profondément déprimé. Toutefois, après une pandémie atone depuis mars 2020, l’industrie touristique nationale a commencé à apporter des améliorations à la fin de l’année dernière. Parallèlement à ces correctifs, le secteur a toujours été accusé de contribuer au regroupement de nouveaux cas de propagation du COVID-19.
L’Association indonésienne de l’hôtellerie et de la restauration (PHRI) constate que malgré les améliorations, la situation dans l’industrie du tourisme cette année ne sera pas meilleure que l’année dernière. En outre, voir la propagation de COVID-19 à plusieurs reprises touche encore un nouveau record.
Le président de la PHRI Hariyadi Sukamdani a déclaré qu’il y avait eu une augmentation du nombre de touristes en 2020, mais seulement en octobre 2020. Pendant les longues vacances, le nombre de visiteurs dans certaines destinations touristiques a augmenté de 54,25 pour cent.
« Une fois (les longues vacances) terminées, baissez à nouveau et le tourisme est accusé comme la cause du nouveau cluster COVID-19. C’est une triste histoire de tourisme. Après un long week-end, il faut l’accuser d’avoir fait monter les cas de COVID-19 », a déclaré Hariyadi lors du Sommet 2021 du Wonderful Indonesia Media Group News (MGN) : Relancer l’industrie du tourisme, il y a quelque temps.
Pendant ce temps, a-t-il dit, le taux d’occupation ou le taux d’occupation des hôtels n’est que d’environ 31,65 pour cent en novembre 2020. L’un d’eux est à Bali. Selon Hariyadi, l’hôtel n’est que 10 pour cent du total de 160 mille chambres sur l’île des Dieux.
La cause de la baisse de la demande du marché est la réglementation des restrictions aux activités publiques. Comme on le sait, pendant les vacances de Noël et du Nouvel An 2020, le gouvernement impose des règles de voyage à plusieurs destinations touristiques. L’un d’eux, les acteurs du voyage intérieur avec des modes de transport aérien entrant à Bali doit apporter des résultats négatifs des tests d’écouvillon basés sur pcr.
Cette règle fait 80 pour cent des hôtels à Bali remboursement quand il ya des informations sur les dispositions PCR obligatoires à Bali qui ont un impact sur le fardeau des prix des vols.
Non seulement cela, a déclaré Hariyadi, la cause de la baisse de la demande est aussi parce qu’il ya encore des préoccupations au sujet de la propagation de COVID-19 plus le coût des voyages est actuellement relativement croissante.
« (Cela) diminue certainement le pouvoir d’achat de la communauté et les changements dans le comportement de la communauté qui rencontre actuellement tous virtuels. Donc, si dans un hôtel qui a une salle de bal maintenant la peine parce que les gens font tous virtuel qui se traduit par une diminution de notre demande », a déclaré Hariyadi.
Les entrepreneurs de l’hôtellerie et de la restauration refusent de devenir des grappes covid-19
Dans le secteur du tourisme, les restaurants sont également considérés comme un groupe d’écart COVID-19. Ceci est en ligne avec la tendance croissante de la transmission du virus à travers la table du dîner. Comme l’a expérimenté doni Monardo, président du Groupe de travail COVID-19, a également été exposé au COVID-19 après avoir mangé ensemble.
Par conséquent, une proposition de Dicky Budiman, épidémiologiste de l’Université Griffith en Australie, a demandé au Groupe de travail COVID-19 d’envisager d’interdire les repas sur place pour les restaurants.
Le vice-président de phri dans le restaurant Emil Arifin a demandé à être montré des données basées sur des études et des enquêtes indiquant que les restaurants sont actuellement un groupe de COVID-19 propagation.
« D’abord prouver que le cluster (propagation de COVID-19) se produit dans les restaurants ou dans les centres commerciaux. Cela prouve qu’il n’y avait pas d’étude, qui a fait l’enquête », at-il dit, lorsqu’il a été contacté par VOI, à Jakarta, jeudi, Janvier 28.
Emil a admis qu’il avait obtenu des données du dossier COVID-19 selon laquelle il y avait une transmission de 30 p. 100 dans les restaurants et les magasins. Néanmoins, a-t-il dit, il convient de faire la distinction entre les restaurants et les stands de nourriture en termes d’application des protocoles de santé.
« La question est que les magasins et les restaurants ne peuvent pas être assimilés. Il y a des magasins qui mettent en œuvre des protocoles de santé. Alors que le restaurant qui est principalement dans le centre commercial, il met en œuvre des protocoles de santé. Peut être vérifié restaurant dans le centre commercial était double protocole de santé. Il y a donc très peu de contagion dans les restaurants », a-t-il dit.
Selon Emil, même s’il y a une transmission COVID-19 dans le restaurant, le premier à être exposé est l’employé du restaurant en charge du service aux clients. Toutefois, a-t-il dit, jusqu’à présent, aucune transmission COVID-19 n’a été trouvée dans les restaurants.
« Précisément jusqu’à présent, il n’y a pas eu. Parce que nous vérifions là-bas chaque semaine, il ya deux semaines (une fois) des tests antigènes rapides et toutes sortes », at-il dit.
Par conséquent, Emil a demandé que l’application proposée des règles des restaurants ne soit enlevée qu’en premier avec des données précises.
« Il est donc préférable de vérifier les données d’abord, non pas parce qu’une personne mange (exposé à COVID-19), tous (restaurants) sont fermés, dit-il.
Les employeurs apprécient le gouvernement 3T pas la façon dontEmil a déclaré que covid-19 protocoles de santé 3M ou le port de masques, se laver les mains et garder la distance commencent maintenant à courir. Bien que, il n’a pas été réparti uniformément dans toute la région. Toutefois, les tests COVID-19 (tests), de traçage et de suivi sous forme de traitement chez les patients covid-19 (traitement) ou 3T du gouvernement ne fonctionnent pas.
« J’ai dit qu’il a commencé à courir, il n’a pas été en cours d’exécution. Cela signifie que toujours dans les bidonvilles, il n’a pas été effectivement en cours d’exécution 3M. Mais la 3T du gouvernement n’est pas la voie. Le traitement est bon, le test n’est pas mauvais, donc le problème est de traçage n’est pas efficace, il ne fonctionne pas », at-il dit.
Par conséquent, Emil s’est demandé comment dire que les restaurants deviennent des grappes de COVID-19 répartis à travers les tables à manger, même 3T qui devrait être fait par le gouvernement ne fonctionne pas.
« Comment dire que la propagation de COVID-19 est en restoram. Les gens ne marchent pas. Maintenant, ce n’est pas asbun (origine du son) encore une fois difficile de cette façon, » at-il dit.
Stratégie de survie en 2021Bien que difficile, mais PHRI a conçu une stratégie de marketing qui a été menée cette année. Le président de PHRI Hariyadi Sukamdani a déclaré, tout d’abord, qu’ils coopéraient avec les compagnies aériennes et Inaca.
« Dans ce cas, ce qui a fait un long chemin est avec Air Asia, qui fait un programme de regroupement hôtelier et des billets d’avion avec le concept de forfait dynamique. Ainsi, le concept d’inventaire des chambres d’hôtel est entre les mains d’amis hôteliers », a déclaré Hariyadi, à Jakarta, jeudi 28 Janvier.
Puis, a déclaré Hariyadi, son parti coopère également avec les entreprises touristiques dans la création de programmes touristiques dans chaque destination. En outre, il travaille également avec des agents de voyages en ligne pour effectuer le traitement du Big Data afin d’affiner les stratégies de marketing avec des objectifs clairs.
« Ensuite, ce que nous devons également anticiper, c’est la diminution du faible taux d’occupation est également plus tard avec cette coopération, nous pouvons faire pression pour l’occupation que nous pouvons encore maintenir, at-il dit.
Actuellement, l’absorption de la main-d’œuvre n’est pas maximale parce que la demande est encore très faible et que des employés multitâches sont nécessaires. En outre, les hôtels dont les activités dépendent de la réunion, de l’incitation, de la conférence et de l’exposition (MICE) seront confrontés à de graves défis.