Comment L’OMS Assure L’accès Aux Vaccins Pour Les Pays En Développement
JAKARTA - L’Organisation mondiale de la Santé a enregistré le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech pour une utilisation d’urgence. Des efforts ont été faits par qui assurer un accès accéléré aux vaccins pour les pays en développement et les pays pauvres.
Le samedi 2 janvier, l’OMS travaillera bientôt avec ses partenaires régionaux pour faire comprendre aux pays en développement quels sont les ingrédients et les avantages de deux doses d’injections de vaccins. Cette mesure, selon qui s’efforce d’aider les pays pauvres et en développement à approuver rapidement la circulation du vaccin COVID-19.
Parce que, si elle n’est pas accordée rapidement la permission, alors il y aura beaucoup de retards dans la résistance à la pandémie COVID-19. Par conséquent, le choix du vaccin Pfizer-BioNTech est tout à fait raisonnable. Qui a révélé que, selon son examen, les vaccins fabriqués par Pfizer répondent aux critères que les autres vaccins doivent avoir.
« Il s’agit d’une mesure très positive pour assurer un accès mondial au vaccin COVID-19 », a déclaré Mariangela Simao, qui est responsable du programme d’accès aux médicaments.
« Mais je voudrais souligner la nécessité de plus grands efforts mondiaux pour parvenir à un approvisionnement suffisant en vaccins pour répondre aux besoins des populations prioritaires partout dans le monde », a-t-il ajouté.
Auparavant, l’OMS a travaillé avec l’Alliance vaccinale GAVI pour former une alliance qui mène les efforts mondiaux visant à garantir la disponibilité du vaccin COVID-19 pour les pays en développement et les pays pauvres. En outre, on sait maintenant que les pays riches maîtrisent la quasi-majeure partie du vaccin COVID-19.
Comme une forme de travail réel, l’alliance a été en pourparlers avec Pfizer-BioNTech pour sécuriser le vaccin. Néanmoins, le principal défi de l’alliance est lié à la distribution et à la livraison du vaccin COVID-19. Qui, pour maintenir l’administration, le vaccin doit être maintenu à une température de consommation de 70 degrés Celsius. Le problème est alors devenu un obstacle majeur pour les pays pauvres et en développement qui ne avaient pas d’infrastructures adéquates.