Un Accusé De Fraude De 10 Milliards De Rps Condamné à 3 Ans De Prison à AMBON
Les juges du tribunal de district d’Ambon ont condamné Josepha Kelbulan et Lambert W. Miru à trois ans de prison, deux accusés dans une affaire de fraude continue qui a réussi à récolter des bénéfices de plus de 10 milliards de rp.
« Condamner l’accusé à trois ans de prison pour avoir été légalement et de manière convaincante reconnu coupable d’avoir violé l’article 378 et l’article 55 paragraphe (1) et l’article 64 du Code pénal », a déclaré la présidente, Julianty Wattimury, à l’audience.
Il y a aussi des choses incriminantes, en particulier pour l’accusée Josepha condamnée à la prison pour avoir purgé deux fois une peine de prison dans une affaire similaire et ne pas avoir admis ses actes.
Bien que l’atténuation soit que les accusés soient polis pendant le procès.
Ensuite, la défense de l’équipe de conseil juridique des accusés qui a demandé la libération de son client a également été rejetée par le juge.
Dans sa décision, le panel de juges a expliqué que l’accusé Josepha, président de Yayasan Anak Bangsa 11 East Indonesia Province, opère depuis 2021, mais n’a obtenu un permis d’établissement de fondation du ministère des Droits de l’homme que le 11 mars 2020.
La fondation compte 350 membres et on leur propose de participer à des appels d’offres de lieux de culte, à 145 ou à des appels d’offres privés, ainsi qu’à des appels d’offres de bénévoles et les récompenses sont doublées par six pays donateurs.
Pour les membres qui suivent l’appel d’offres des lieux de culte et soumettent 1 million de roupies, la récompense est de 50 millions de roupies, avec un record de 30 millions de roupies pour les églises ou les mosquées et de 20 millions de roupies pour les membres.
Ensuite, ceux qui suivent l’appel d’offres 145 si déposent 1 million de Rp obtiendront 45 millions de Rp, et pour les membres qui suivent l’appel d’offres bénévole déposant 250 000 Rp, il recevra une récompense de 25 millions de Rp.
La remise d’espèces ou par virement bancaire sur le numéro de compte appartenant à la défenderesse Josepha à la succursale BRI Ambon a totalisé 7 milliards de rp, tandis que les dépôts par l’intermédiaire de Lambert Miru en tant que secrétaire de la fondation ont été supérieurs à 3 milliards de pesos, à l’exclusion du transfert de fonds dont on ne se souvient plus.
L’accusé Jospha a également insisté sur une découpe de livre blanc qui, selon lui, était de 70 millions de rps en espèces données par Ela Shogu et John Brawun qui seront distribués à 350 membres de la fondation en compensation, chaque membre recevra 200 millions de rps.
Ela et John seraient les accusés en tant que représentants de six pays donateurs pour la fondation qu’ils dirigent.
Mais les témoins bidari qui ont déposé 597 millions de rp de plus à l’accusé dans le procès ont admis que le nom d’Ela Shogu était fictif et que la personne était l’accusé lui-même.
Parce qu’après le témoin, Bidari a demandé le numéro de téléphone d’Ela Shogu et l’a contactée, mais qui a décroché le téléphone était l’accusée Josepha.
Le verdict du juge était encore plus léger que les demandes de l’équipe de l’UPJJ Kejari Ambon, Aristo Djohar, Junet Pattiasina et Senia Pentury qui, lors du procès précédent, avaient demandé que l’accusé soit condamné à une peine de prison de quatre ans.
Après le verdict, les accusés, par l’intermédiaire de leur équipe de conseillers juridiques et de l’équipe de Kejari Ambon de l’UPJ, ont exprimé leurs pensées et ont eu sept jours pour exprimer leur attitude.
Alors que JPU Aristo Johar a déclaré, l’argent de la fraude commise par les accusés selon l’enquête de la police des Moluques Dit Krimum n’était que de 4,5 milliards de rp, mais les faits du procès se sont avérés être plus de 10 milliards de pesos.
Après le procès, une victime de fraude a failli se heurter à l’une des équipes de coordination de la fondation parce qu’on lui avait promis que si l’accusée Josepha était libre des accusations de l’accusation, son argent serait restitué, mais en fait l’accusé a été condamné à trois ans de prison.